viernes, 9 de noviembre de 2012

LE MODULE DU LANGAGE


Cite bibliographique : Mercier, N. (2007). Je parle donc je suis. Québec Science, Mai 2007, pp. 40-44.

Mots-Clés : faculté innée; principe/paramètre; module d’acquisition du langage.

Résume et explication :
            « Pour Chomsky, le langage, la syntaxe en particulier, étaient une fenêtre sur le cerveau, sur la pensé et, par extension, sur la nature humaine » (p.41)

L’article de Mercier présente certaines idées centrales de la théorie de Chomsky, relatives au fonctionnement de la structure linguistique tel comme ce scientifique l’a conçu. Mercier fait référence à l’exclusivité de la faculté du langage. Pour Chomsky, il s’agit, en effet, d’une caractéristique intrinsèquement humaine, sans précédentes évolutives. L’auteur explique qu’il a été possible montrer, à travers de études psychologiques, que les animaux sont incapables d’apprendre une langue. Bricka (2004) aborde ce même point dans son article « Une grammaire innée? » où il signale que, selon Chomsky, le langage a apparu chez l’homme comme « une sorte d’accident fortuit » (2004, p.29).
Le langage serait, ainsi, encodé dans le génome humain, et dans le cerveau. Plus spécifiquement, Chomsky propose qu’il existe un module de langage. Une zone particulièrement destiné au traitement et acquisition du langage. Dans le module du langage se trouveraient engravés les règles abstraits nommés principes qui conforment la grammaire universel. « L’enfant vient au monde armé d’un bagage de connaissances innées sur les propriétés du langage » (p.42).
Ainsi, toute l’structure du langage est déjà enregistrée dans le cerveau dés que l’enfant est né; configuré comme un tableau d’options. « Il ne reste plus à l’enfant qu’ajuster une série de "paramètres" ou d’interrupteurs, selon la langue à laquelle il est exposé » (p.42)

Commentaires :
La théorie de Chomsky propose que le langage est une particularité de l’humaine. Néanmoins, l’idée d’un structure fixée et universelle qui est actualisée de façon différent en chaque langue, a suggéré que cette même structure pourrait être enregistré dans la mémoire d’une machine, et créer ainsi, une intelligence artificielle. Cette possibilité à été réfuté par auteurs comme Jerry Fodor (*année?), en proposant que la structure biologique trouvé chez l’être humain est intrinsèque à le langage. Publications tardives de Chomsky (2005), comme « Three Factors in Language Design » suggèrent que ce théoricien aussi accepte ce critique. 

jueves, 8 de noviembre de 2012

LA GRAMMAIRE INNÉE: Un change de paradigme


Cite bibliographique : Bricka, J.P. (2004). Une grammaire innée? Science et vie, n° 11, pp. 23-29.


Mots-Clés : grammaire générative; règles génératives; grammaire universel ; pauvreté de l’apport; faculté innée; faculté du langage.

Résume et explication
Dans son article « Une grammaire innée? », Bricka expose les utiles conceptuels basiques de la théorie de la linguistique générativiste de Noam Chomsky. Cette théorie est née au tour des années ‘60, en opposition à la théorie behavioriste, qui était le courant de pensée dominant en psychologie et linguistique à l’époque aux États-Unis.
L’école behavioriste considérait que le langage était une conduite ou habitude social. Ça implique que les individus d’une certaine communauté linguistique arrivaient à maitriser sa langue maternelle sur la base de l’imitation « l’enfant apprend sa langue par simple imitation » (p.24). La langue, elle-même, était considérée comme une conjointe de signes conventionnels « Durant le première moitié du vingtième siècle, [la langue] est considéré comme un simple système de signes » (p.24).
Voici le paradigme que Chomsky vienne à réfuter. Chaque fois que quelqu’un propose que Noam Chomsky est le père de la linguistique moderne, il faut considérer le gigantesque change de paradigme qu’implique changer la conception de le langage come conduit, pour autre que propose qu’il est une faculté innée.
Alors, qu’est-ce que ça veut dire, pour Chomsky? Bricka explique que ce théoricien avance qu’il y a un conjoint de règles et principes innés qui structurent le langage.  Cette-à-dire, les enfants ne son pas nés comme une tabula rasa, vides de tout connaissance, par contre, ils viennent déjà avec certaines « principes innés qui les guident dans l’élaboration de la langue qu’ils apprennent » (p.25). Ces principes ont le nom de règles génératives.  En fait, ces règles seraient partagées pour toutes les langues humaines, et toutes les enfants humaines seraient nées, selon Chomsky avec une identique structure de règles et principes, une grammaire de base « inscrites sous la forme d’une circuiterie neuronale dans le cerveau » (p.25), c’est une grammaire universelle.
L’intuition qui est a la base de cette théorie, est que les si les enfants apprenaient leur langue par imitation, ils tarderaient longtemps en commencer à parler. Au contraire, les enfants commencent à utiliser la langue très jeunes, et maitrisent cet habilité à la perfection depuis 5 ou 6 ans. Encore plus, la pauvreté de l’apport comme élément conceptuelle est intéressant parce-que il suppose que l’environnement social de l’enfant est plain d’information de mauvaise qualité, incomplet, avec des erreurs, faux, mais que l’enfant acquière une grammaire parfait malgré tout.  
L’exemple des pidgins, dans le texte sert comme exemple et preuve de l’existence de cette faculté innée et ces règles génératives qui structurent le langage. Bricka explique le phénomène de la transformation de un pidgin en un créole; i.e., d’un ensemble de mots sans une grammaire stable à une langue proprement dit, avec de règles grammaticales aussi complexes que celles de toutes les autres. En effet, si les enfants apprenaient par imitation, il n’y aurait pas lieu pour une transformation de ce sort.      

Commentaire :
Tel comme l’auteur de l’article explique, c’est la contribution de Chomsky que a suscité le développent de la psychologie contemporaine, de la nouvelle science cognitive et la recherche en intelligence artificielle aussi comme la revivification de la philosophie de l’esprit.
La linguistique générative, comme courant de pensée est à la base des études contemporaines d’acquisition du langage. Ce qu’on essai de prouver est, effectivement, qu’il  y a un ensemble de règles qui existent, et que les différents étapes réfléchissent la transition de un Grammaire Universelle a un Grammaire particulier et stable, processus dans lequel le input social est importante, mais qui consiste fondamentalement en la expression d’un code inné.   
Néanmoins Il est importante retenir toujours certaines précisions. Chomsky est le père du courant de linguistique moderne Nord-Américaine, mais le label de linguistique moderne est appliqué à toute les courants en linguistique postérieures à Ferdinand de Saussure en Europe central (au tour des 1920, au moins 30 années avant!).    
*Faites attention! Je pense que l’auteur mélange au commence du texte la linguistique générative, qui est un courant de pensée, avec la grammaire générative, que es un outil conceptuel de cette théorie.