Cite bibliographique : Bricka, J.P. (2004). Une
grammaire innée? Science et vie, n°
11, pp. 23-29.
Mots-Clés : grammaire générative; règles génératives; grammaire universel ;
pauvreté de l’apport; faculté innée; faculté du langage.
Résume et explication
Dans son article « Une grammaire
innée? », Bricka expose les utiles conceptuels basiques de la théorie de
la linguistique générativiste de Noam Chomsky. Cette théorie est née au tour
des années ‘60, en opposition à la théorie behavioriste, qui était le courant
de pensée dominant en psychologie et linguistique à l’époque aux États-Unis.
L’école behavioriste considérait que le
langage était une conduite ou habitude social. Ça implique que les individus d’une
certaine communauté linguistique arrivaient à maitriser sa langue maternelle
sur la base de l’imitation « l’enfant apprend sa langue par simple imitation »
(p.24). La langue, elle-même, était considérée comme une conjointe de signes conventionnels
« Durant le première moitié du vingtième siècle, [la langue] est considéré
comme un simple système de signes » (p.24).
Voici le paradigme que Chomsky vienne à
réfuter. Chaque fois que quelqu’un propose que Noam Chomsky est le père de la linguistique moderne, il
faut considérer le gigantesque change de paradigme qu’implique changer la
conception de le langage come conduit, pour autre que propose qu’il est une faculté innée.
Alors, qu’est-ce que ça veut dire, pour Chomsky?
Bricka explique que ce théoricien avance qu’il y a un conjoint de règles et
principes innés qui structurent le langage. Cette-à-dire, les enfants ne son pas nés comme
une tabula rasa, vides de tout
connaissance, par contre, ils viennent déjà avec certaines « principes innés
qui les guident dans l’élaboration de la langue qu’ils apprennent » (p.25).
Ces principes ont le nom de règles génératives.
En fait, ces règles seraient partagées
pour toutes les langues humaines, et toutes les enfants humaines seraient nées,
selon Chomsky avec une identique structure de règles et principes, une grammaire
de base « inscrites sous la forme d’une circuiterie neuronale dans le
cerveau » (p.25), c’est une grammaire
universelle.
L’intuition qui est a la base de cette
théorie, est que les si les enfants apprenaient leur langue par imitation, ils
tarderaient longtemps en commencer à parler. Au contraire, les enfants commencent
à utiliser la langue très jeunes, et maitrisent cet habilité à la perfection depuis
5 ou 6 ans. Encore plus, la pauvreté de
l’apport comme élément conceptuelle est intéressant parce-que il suppose
que l’environnement social de l’enfant est plain d’information de mauvaise qualité, incomplet, avec des
erreurs, faux, mais que l’enfant acquière une grammaire parfait malgré tout.
L’exemple des pidgins, dans le texte sert
comme exemple et preuve de l’existence de cette faculté innée et ces règles
génératives qui structurent le langage. Bricka explique le phénomène de la
transformation de un pidgin en un créole; i.e., d’un ensemble de mots sans une
grammaire stable à une langue proprement dit, avec de règles grammaticales
aussi complexes que celles de toutes les autres. En effet, si les enfants
apprenaient par imitation, il n’y aurait pas lieu pour une transformation de ce
sort.
Commentaire :
Tel comme l’auteur de l’article explique,
c’est la contribution de Chomsky que a suscité le développent de la psychologie
contemporaine, de la nouvelle science cognitive et la recherche en intelligence
artificielle aussi comme la revivification de la philosophie de l’esprit.
La linguistique générative, comme courant
de pensée est à la base des études contemporaines d’acquisition du langage. Ce
qu’on essai de prouver est, effectivement, qu’il y a un ensemble de règles qui existent, et que
les différents étapes réfléchissent la transition de un Grammaire Universelle a
un Grammaire particulier et stable, processus dans lequel le input social est importante, mais qui
consiste fondamentalement en la expression d’un code inné.
Néanmoins Il est importante retenir
toujours certaines précisions. Chomsky est le père du courant de linguistique
moderne Nord-Américaine, mais le label de linguistique
moderne est appliqué à toute les courants en linguistique postérieures à
Ferdinand de Saussure en Europe central (au tour des 1920, au moins 30 années
avant!).
*Faites
attention! Je pense que l’auteur mélange au commence du texte la linguistique générative, qui est un
courant de pensée, avec la grammaire
générative, que es un outil conceptuel de cette théorie.
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